Fraternité Saint Pierre
Nominations 2002...
nos premiers pronostics...
Comme tous les ans, la FSSP nous propose sa grande valse estivale...
Rien n'est encore officiel, mais les pronostics vont bon train :
- l'abbé Denis Le Pivain serait sur le départ. Après s'être scrupuleusement plié aux consignes de modération de son évêque ... Il quitterait la France pour de lointaines contrées d'Afrique. Un sage éloignement ne lui permettrait-il pas d'obtenir en retour un peu de violet ?
En attendant, l'abbé Xavier Garban respire, il va enfin pouvoir être vraiment supérieur de District ! (Cela lui permettra d'arrêter sa carrière d'écrivain... les papiers sur Assise et Campos laissant un goût très amer à de nombreux fidèles)
- l'abbé Michel Berger permuterait avec l'abbé Marc-Antoine Dor. Le premier quittant Wigratzbad pour aller à Lyon... et inversement.
- l'abbé Gérald de Servigny arriverait à Versailles à la maison Saint Dominique Savio... sous la houlette du jeune abbé Guimon, tout nouveau Chapelain (probablement).
- l'abbé Alfredo Reyes-Barrios quitterait Agen, probablement pour se voir confier la responsabilité d'un apostolat au Guatemala... ou ailleurs, s'il est possible de trouver plus loin. A moins qu'on ne l'affecte à Montmirail, apostolat phare de la FSSP (il y reste encore une dizaine de places pour des prêtres non-signatiares, nous dit-on).
Il est remplacé par l'abbé Edouard de Mentque, qui après avoir mis de l'eau de son vin peu maintenant ré-intégrer la France.
La réconciliation est toujours en marche. On continue à confiner les prêtres refusant les termes du recours de 1999 dans quelques maisons.
Ainsi, la FSSP va très bien. C'est très certainement ce que rappellera l'abbé Devillers dans quelques jours devant le Cardinal Hoyos à Wigratzbad.
Ne nous étonnons pas d'ailleurs qu'après avoir favorisé la Révolution au sein de la FSSP, dont elle se meurt désormais ; ce même cardinal ait pu non seulement favoriser l'accord avec l'USJMV mais encore puisse regarder maintenant la FSSPX avec les yeux de Chimène.
Souvenons nous que parfois, si l'on embrasse, s'est pour mieux étouffer...